
15 Mai Qu’en pensent nos clients ? Olivier Bouyer, dirigeant de SalvaTerra
Je suis ingénieur agronome tropical et ingénieur des eaux et forêts (en dispo de l’administration). J’ai commencé à travailler dans le secteur de la coopération internationale il y a 18 ans, avec cinq ans d’expatriation, au Ghana et en Guinée, sur des projets de développement de l’agriculture. Je suis toujours resté dans ce secteur depuis lors. Actuellement, je dirige SalvaTerra, bureau d’études spécialisé en environnement, agriculture, forêt et développement rural. Nous agissons principalement en Afrique subsaharienne, pour des Gouvernements, des ONG, des entreprises privées. Nous intervenons dans des contextes difficiles, dans des pays en développement, où il y a de la pauvreté et une faible gouvernance, aggravés par les dégradations de l’environnement. Notre bureau fêtera prochainement ses sept ans.
Quels sont les critères de sélection qui vous ont amené à faire appel à un cabinet de recrutement ? Quelles étapes dans le choix du prestataire ? Pourquoi Umaneo ?
Nous avions le sentiment de ne pas y arriver tout seul. Nous avions besoin d’un regard extérieur, tranchant avec notre approche peut-être trop technicienne. Nous connaissions Umaneo via Renaud Fremont. Il nous a aidés bénévolement au départ, nous donnant des conseils pleins de bon sens, mettant en lumière certaines choses restées dans l’ombre. Cela nous a incité à formaliser notre collaboration en faisant appel à lui sur nos derniers recrutements.
Pour quel type de poste avez-vous fait appel à Umaneo ?
Pour notre dernière collaboration, il s’agissait d’un poste de chargé de mission spécialisé en développement forêt. Nous cherchions quelqu’un avec de l’expérience, ayant des compétences techniques pointues, parlant plusieurs langues, prêt à bouger régulièrement en mission. La mince affaire, n’est-ce pas ! La personne recrutée est à présent un très bon collègue, dans l’équipe depuis six mois.
Comment le processus de recrutement a-t-il été mis en place ?
Nous nous sommes mis d’accord sur une fiche de poste en interne. Nous l’avons donnée à Renaud, qui nous a soumis quelques amendements. Il l’a diffusée par mail, sur les réseaux sociaux, Pôle emploi et autres « jobboards » sélectionnés avec soin.
Il a ensuite fait une pré-sélection, avec pour support un questionnaire sur le savoir-être et un autre sur les savoir-faire. Nous avons poursuivi avec une mise en commun et le tri des candidatures. La phase d’entretiens en compagnie de Renaud a (presque) clôturé le processus de recrutement.
Car Umaneo ne lâche pas les candidats dans l’arène comme cela. Nous avons eu quelques échanges avec Renaud, pour faciliter l’intégration, et gérer au mieux la période d’essai. Une sorte de service après-vente qui nous semble essentiel.
Êtes-vous satisfait de son déroulement ? Des conseils ? De l’accompagnement ?
Oui. Totalement. Cela nous a tranquillisés. Renaud sait se mettre à la hauteur des gens. Nous avions au départ certaines certitudes… Il nous a expliqué, simplement, en quoi elles étaient fondées ou non, sensées ou non. Les échanges qu’il a eus avec les candidats ont par ailleurs été très humains. Ce n’est jamais évident pour eux. Il est parvenu à les mettre en confiance, ayant toujours le mot juste et diplomate.
Quelle était votre situation avant de faire appel à Umaneo ? Quelle est maintenant votre situation ?
Avant, nous avions la sensation de bricoler. Schéma classique : nous pensions savoir alors que nous ne savions pas. Nous avons professionnalisé les choses. Umaneo donne des outils pour « huiler la machine » de façon durable et pérenne. En termes d’activité, nous en avons profité pour réfléchir à notre stratégie de croissance.
Recommanderiez-vous Umaneo à l’un de vos partenaires ?
On l’a déjà fait (cela va sans dire !).
Merci à Olivier Bouyer, dirigeant de SalvaTerra pour cette interview téléphonique réalisée par Antoine Sanchez, rédacteur indépendant.